Promouvoir la participation des femmes et filles à la science

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Ces quinze (15) dernières années, la Communauté internationale a entrepris d’importants efforts pour inspirer et promouvoir la participation des femmes et des filles à la science.

Malheureusement, les femmes et les filles continuent d’être exclues et ne peuvent participer pleinement à la science. Selon une étude menée dans 14 pays, la probabilité pour les étudiantes d’obtenir un baccalauréat, une maitrise ou un diplôme de docteur dans des matières liées à la science est de respectivement 18%, 8  % % et 2% tandis que ces pourcentages sont de 37%, 18%, 6% pourles élèves de sexe masculin.

Au Tableau, chères jeunes filles élèves pic.twitter.com/fKdUf6DGIP

— MOBILELABO (@LABOMobile) February 13, 2018

Afin d’obtenir l’accès et la participation pleine et équitable des femmes et des filles à la science, et aussi pour atteindre l’égalité entre le sexe et l’autonomisation des femmes et des filles, l’assemblée générale des Nations Unies a décidé de proclamer le 11 février, Journée des femmes et des filles de science (résolution A/RES 70/212). Au Togo, plusieurs actions sont menées par le gouvernement ainsi que la société civile dans ce domaine afin d’encourager la jeune fille à la science.

Entre autre:

• l’inégalité entre les frais de scolarité des élèves filles et garçons d’une même classe.
• Un quota de postes pour les femmes dans certains concours scientifiques
• Des clubs, TD et TP spécialement réservés aux renforcements de capacités des étudiantes.

C’est dans cette perspective que l’association scientifique les Archimèdes a coorganisé cette première édition de la journée des femmes et filles de science au Togo avec FAWE (Forum des Femmes Africaines Educatrices). Au programme, une exposition scientifique afin de démystifier certaines théories scientifiques avec les élèves du lycée Avédji, lieu choisi pour la circonstance; et des prix aux Lauréates du concours STIM organisé par FAWE.

Cette initiative a été soutenue par MOBILELABO SARL qui a offert 8 kits de biochimie aux huit établissements de provenance de ces élèves lauréates.

Pour le directeur général de MOBILELABO, “grâce à ces écoles, notre pays a été représenté à la phase internationale du concours STIM 2017 en Zambie, elles doivent être soutenues afin d’offrir de meilleures têtes bien faites dans les années à venir”